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L’acte d’achat d’un bien immobilier et bien naturellement la durée de l'emprunt qui s’y rattache, inquiète bon nombre de primoaccédants, face à la liberté de rester locataire.
Évidemment, une instabilité professionnelle ou conjugale n’engendre guère la volonté de s’engager dans un acte de long terme. C’est pourquoi il est parfois plus simple de ne pas prendre position, et de rester locataire sans engagement durable. Domneo.com donne son analyse de la situation.
La location d’un appartement s'impose donc comme une évidence, mais dès que la structure du foyer se modifie par la rencontre d’un conjoint, et l’arrivée d’un enfant, il faudra changer de logement pour accueillir confortablement la famille. Une recherche d’un nouvel appartement s’impose de fait en faveur d'un 2 ou 3 pièces selon vos besoins et possibilités financières.
C’est à ce stade, qu’il faut songer à acquérir votre premier appartement neuf, car bon nombre d’aides vous seront alors proposées et tant que primoaccédant (TPZ, TPZ+, PSLA, APL). Nous préciserons également qu’une acquisition dans le neuf cumule d’autres avantages, comme les frais de notaire réduits, le bénéfice des dernières normes d’isolations phoniques et thermiques, ainsi que les garanties constructeurs qui pendant 10 ans, vous épargnerons bien des tracas et dépenses annexes quant à d’éventuels frais de copropriété afférents à l’entretien et grosses réparations (toiture, ravalement, chauffage)…
Acquérir un bien immobilier est synonyme, de protection familiale, de patrimoine, parfois de réduction d’impôts, mais également d’engagement sur le long terme. Lorsque vous déciderez pour la première fois d’acquérir un bien immobilier, vous chercherez à mesurer le risque, et tenterez de vous rassurer en restant locataire, sous couvert d’une liberté totale, face à un engagement qui semble être irrévocable envers un emprunt sur 20 ans. Cette donnée est bien évidemment fausse, car il est tout à fait possible de revendre un bien à tout moment. Dans ce cas précis, du fruit de la vente, viendra en déduction le solde du prêt restant du, et le différentiel vous reviendra de plein droit. Ce qui en cas de plus value (non taxable sur la vente d’une résidence principale achetée neuve après 5 années d’occupation) augmentera d’autant votre apport personnel pour votre acquisition suivante.
Rester locataire serait alors un choix qui pourrait vous apparaitre comme plus simple, mais si l’on analyse l’aspect financier, cette option risque de vous couter fort cher. Selon une estimation en Ile-de-France où le prix du marché locatif se situe aux environs de 18€/m², il vous en coûterait pour une surface de 50m² la somme de 900€/mois. Soit une enveloppe représentant la somme de 216 000€ sur 20 ans.
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