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Bien que très disparates en fonction de la région, les prix de l’immobilier dans les communes en bord de mer connaissent une légère baisse.
La dernière note de conjoncture des Notaires de France analyse l’évolution des prix de l’immobilier dans les communes du littoral sur un an. L’étude note une forte hétérogénéité du marché en fonction de la vocation touristique des communes. Mais comme sur l’ensemble du territoire, la tendance à la baisse des prix atteint également le bord de mer.
Immobilier : Des disparités entre les littoraux
La note de conjoncture immobilière des Notaires de France (juillet 2014) relève d’importantes disparités entre les communes en bord de mer. Le secteur immobilier est marqué par une différence entre les villes touristiques, prisées pour les résidences secondaires, et les communes à vocation plus marquée pour le logement principal.
Dans les régions touristiques renommées, le prix médian au m2 dépasse, en général, les 4 000 €. Les stations balnéaires de la Côte d’Azur caracolent en tête, avec Rocquebrune-Cap-Martin (5 440 €/m2) ou Bandol (5 080 €/m2). Certaines communes de la côte atlantique sont également très prisées comme Arcachon, Le Touquet-Paris-Plage ou Biarritz.
Dans les régions touristiques renommées, le prix médian au m2 dépasse, en général, les 4 000 €. Les stations balnéaires de la Côte d’Azur caracolent en tête, avec Rocquebrune-Cap-Martin (5 440 €/m2) ou Bandol (5 080 €/m2). Certaines communes de la côte atlantique sont également très prisées comme Arcachon, Le Touquet-Paris-Plage ou Biarritz.
Les villes plus abordables
Le prix à l’achat se situe entre 3 000 et 4 000 €/m2 dans les communes « au parc immobilier plus diversifié » qui allient plus-value touristique et logement traditionnel. C’est notamment le cas de Nice (3 564 €/m2), La Rochelle (3 471 €/m2), Cabourg ou Anglet (autour de 3 000 €/m2).
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