 Your new post is loading...
Your new post is loading...
Pour fêter les 30 ans de la série "Le Prince de Bel-Air", Airbnb a décidé de mettre en location la maison qui a servi au tournage.
L'application de location de logements Airbnb, qui avait déjà fait parlé d'elle en proposant à ses utilisateurs de se loger dans le Louvre, dans le château de la série Downton Abbey ou encore dans une tour de la Grande Muraille de Chine, fait à nouveau le buzz !
En effet, la plateforme propose de passer un séjour dans la villa du "Pince Bel-Air", que l'on retrouve dans la fameuse série américaine qui a fait naître Will Smith dans les années 90.
Et en plus, les prix sont plus qu'abordables !
Pour passer une nuit dans la villa du Prince Bel-Air, il faudra débourser 30 dollars soit 25 euros.
Malheureusement, en raison du Covid-19, la réservation qui ouvrira le 20 septembre sera réservée aux habitants du comté de Los Angeles et est limitée pour le moment aux dates des 2, 5, 8 et 11 octobre. Cette initiative est destinée à lever des fonds pour "Boys & Girls Clubs of Philadephia", une association "dont la vocation est d'accompagner la jeunesse à travers des programmes et activités favorisant l'autonomisation et le développement personnel", indique Airbnb.
Les premières images de la plus haute tour résidentielle du monde, à New York, viennent d’être dévoilées. Elle culminera à plus de 470 mètres, là où le futur plus haut gratte-ciel mixte s’élèvera à plus de 1000 mètres. Les prix de vente des appartements donnent le vertige. L’actuelle plus haute tour mixte du monde (bureaux, résidences, hôtel, restaurants, boutiques de luxe...), la fameuse tour Burj Khalifa, se trouve à Dubaï. Sachez désormais que le plus haut bâtiment d’habitation au monde verra le jour à New York, la ville qui a priori «ne dort jamais». L’emplacement n’a pas été choisi au hasard: ce sera la 57e Rue, surnommée l’«allée des milliardaires», où cohabitent galeries d’art prestigieuses, restaurants, hôtels et enseignes de luxe (Tiffany, Dior, Chanel...). Les premières images de cette tour de 131 étages viennent d’être dévoilées par la presse américaine. Son nom? Central Park Tower puisqu’elle offre une vue imprenable sur l’espace vert de 341 hectares. Un site Internet lui a même été dédié. Sa taille? 472 mètres. À titre de comparaison, Burj Khalifa culmine à plus de 800 mètres. Ironie du sort: l’architecte qui a conçu Central Park Tower, Gordon Gill, est aussi à l’origine de la future plus haute tour mixte du monde, Jeddah Tower (1001 mètres de haut), actuellement en construction en Arabie Saoudite. «Le Central Park Tower a été conçue pour tirer parti de l’esprit de la ville de New York et créer une adresse digne de son emplacement dans cette zone des milliardaires proche de Central Park», explique l’architecte Gordon Gill. Et de prédire: «Dans l’histoire de la ville de New York, cet immeuble sera l’unique offre résidentielle qui redéfinit la vie de luxe.» 179 résidences Aux sept premiers étages, les futurs résidents pourront faire leurs emplettes dans la chaîne de magasins Nordstrom (vêtements, chaussures, bijoux, sacs...). Un peu plus haut, les 14e, 15e et 16e étages seront dédiés à la détente: au programme, salons (billard, salles de projection et réception...), piscines, bars, aires de jeux, spas ou encore terrains de sport. Lire la suite...
Selon Zillow, site référence du marché de l’immobilier aux Etats-Unis, la résidence du Président de la première puissance mondiale s’est appréciée de plus de 15% durant les deux mandats de Barack Obama. Louer la maison aux 132 pièces du 1600 Pennsylvania avenue vous coûterait plus de deux millions d’euros chaque mois selon les estimations de Zillow.
Quand les gratte-ciels ressemblent à s'y méprendre à des organe
Bâtie au début du XXe siècle par un architecte suédois, elle a depuis été entièrement rénovée. Son prix? Moins de 300.000 euros. À défaut d'emménager dans un Boeing 727, pourquoi ne pas opter pour une ancienne gare ferroviaire? Située à quelques kilomètres de Malmö, dans le sud de la Suède, elle a été entièrement rénovée. Au rez-de-chaussée de cette charmante demeure en briques rouges bâtie dans les années 1910, un salon qui fut jadis la salle d'attente dans laquelle les voyageurs patientaient avant l'arrivée du train. Le guichet pour composter les billets est resté intact. La maison comprend également, à l'étage, une vaste cuisine ouverte aux murs blancs ainsi que deux chambres. Elle dispose même d'un grenier, qui nécessite cependant quelques travaux de rafraîchissement. L'annonce est disponible sur internet,en suédois. Le prix de cette ravissante bâtisse presque "dans son jus": environ 2,8 millions de couronnes suédoises, soit un peu plus de 288.000 euros.
La société russe SkyDome, développe des structures en forme d’igloo à bas prix en bois. Skydome a créé une série de logements d’une structure arrondie dans la région de Moscou. Ces logements sont relativement peu coûteux à construire, surtout par rapport au prix d’un studio à Moscou. Grâce aux murs courbés, l’habitation est économe en énergie et a un faible taux de perte de chaleur, la circulation de l’air se fait naturellement. La forme de dôme permet aussi quelques avantages uniques pour la construction et la décoration. Il n’y a pas de mûrs porteurs ce qui offre un grand espace intérieur et un vaste choix de personnalisation de la maison.
Un artiste qui vit à Milan a eu l’idée de décorer à sa façon de minuscules espaces enfouis sous terre pour en faire une chambre, une cuisine ou une salle de bain. Si vous avez un jour la chance de flâner dans les rues de Milan, vous ne verrez plus jamais les bouches d’égout comme avant. Biancoshock, un artiste de rue qui a choisi le détournement de l’espace urbain comme mode d’expression, a eu l’idée de décorer à sa façon ces minuscules espaces enfouis sous terre pour en faire une chambre, une cuisine ou une salle de bain. Baptisé "Borderlife", ce projet qui va bien au-delà du concept de "tiny houses" venu des États-Unis est en quelque sorte un hommage aux sans-abris du monde entier qui n’ont pas les moyens de se loger décemment, comme à Bucarest où des centaines de personnes vivent dans des bouches d’égout. "Si des problèmes ne peuvent être évités, rendez-les confortables", résume Biancoshock pour décrire son œuvre. Le street artiste italien se proclame du mouvement de "l’éphéméralisme", un nouveau courant artistique qui consiste à créer des œuvres éphémères dans l’espace, mais dont la fin n'est jamais précisément définie. Il a réalisé quelque 650 projets différents à travers l’Europe, dont certains sont présentés sur son site Internet. (Plus de photos ici)
Les outils de navigation comme Google Maps sont d’une grande utilité, surtout lorsqu’on voyage. Cependant, ils ne sont jamais totalement l’abri des bugs. Preuve en est, les propriétaires d’un duplex au Texas, aux Etats-Unis, ont vu leurs maisons démolies par erreur et le coupable serait Google Maps. L’entreprise de démolition devait s’occuper d’une maison sur 7601 Cousteau Drive. Mais à la place, elle a rasé une autre maison, à l’adresse 7601 Calypso Drive, à un pâté de maison. Et selon celle-ci, c’est Google Maps qui les a dirigés vers la mauvaise maison. Après, il faut savoir que les deux maisons avaient été détruites par le passage d’une tornade en décembre. Cependant, alors que les propriétaires de la maison sur 7601 Cousteau Drive ont décidé de faire démolir celle-ci, ceux de la maison sur 7601 Calypso Drive ont prévu de faire réparer la leur. Et pour le moment, la société n’aurait pas encore présenté ses excuses. Quant à Google, il ne s’est pas encore exprimé à ce sujet, mais aurait déjà corrigé la faille qui aurait conduit à la destruction accidentelle de ce duplex. La morale de l’histoire ? Google Maps n’est pas infaillible. Et pour quelques choses d’aussi important que la démolition d’une maison, il vaut mieux vérifier l’adresse deux fois.
Plus de 60 centimètres de neige sont tombés en l'espace de quelques heures sur l'est des Etats-Unis, offrant des paysages insolites. A New York, un habitant du Bronx a eu l'idée de construire un igloo, et de le proposer à la location. La banquise en plein New York. Ca aurait pu être le titre de l'annonce postée par un New-Yorkais sur le site de location touristique Airbnb. Un habitant de Brooklyn a profité de la neige déposée sur New York par la tempête Jonas pour construire un igloo et le proposer à la location sur la plateforme en ligne d'hébergement. Directeur artistique dans la publicité, Patrick Horton a bâti ce week-end, en six heures, cet igloo dans son jardin avec ses deux colocataires, a-t-il expliqué lundi. Il a ensuite proposé ce logis éphémère à la location pour 200 dollars la nuit sur le site d'hébergement chez l'habitant Airbnb sous le titre "Boutique Igloo d'hiver pour deux". Le terme boutique vient du concept de "boutique-hôtel", qui désigne un établissement de faible capacité, à la décoration très étudiée et situé au coeur d'un grande ville. L'annonce retirée Airbnb a néanmoins décidé de retirer l'annonce de sa plateforme après six heures en ligne, a expliqué Patrick Horton. Il n'a donc pu honorer aucune des cinq demandes qu'il avait reçues avant le retrait de l'annonce. "Airbnb permet de proposer des igloos à la location, mais pour certaines raisons, celui-là ne remplissait pas les critères" selon la société, a expliqué cet habitant du quartier de Greenpoint.
Airbnb a notamment mentionné le fait que le toit risquait de fondre, "même si cela me paraît être une constante pour un igloo". Contacté par l'AFP, Airbnb n'a pas donné suite. Patrick Horton envisage de se tourner vers un autre site d'annonces, Craigslist, pour mettre sa création en location. "On veut le garder aussi longtemps que possible. Tant qu'il fait assez froid", a-t-il expliqué. La tempête Jonas a frappé l'est des Etats-Unis vendredi et samedi. A New York, elle a fait tomber 68 cm de neige à Central Park, à quelques millimètres du record absolu pour un même événement climatique, 68,3 cm en février 2006.
La légalisation de la vente de cannabis à des fins «récréatives» dans l'état américain du Colorado a provoqué un boom de l'immobilier industriel de la ville de Denver. Les ventes de cannabis ont rapporté jusqu'ici 14 millions de dollars à l'État. Depuis le 1er janvier, la consommation et la vente de cannabis à des fins «récréatives» sont légales dans l'État américain du Colorado. Une décision qui a généré un véritable boom immobilier dans la ville de Denver. Le taux de vacance des sites industriels est «anormalement faibles à 3,1%», indique le Denver Post. Et les prix s'en ressentent. Les logements industriels sont aujourd'hui loués cinq fois plus cher qu'en 2009, date de la légalisation de la marijuana à des fins médicales dans l'Etat. Le prix de la location a subi une augmentation de 21% ces deux dernières années, selon Colliers International, firme immobilière de l'Etat.
Le «pot market» attire les foules
Premier État américain à légaliser la vente de cannabis, le Colorado a trouvé un véritable filon. Le «pot market», littéralement «marché de l'herbe», attire de nombreux touristes à Denver qui veulent profiter de la légalisation. Des «cannabis clubs» fleurissent partout, permettant de se réunir pour consommer son propre cannabis. De nombreux agences de voyages se sont également emparées du marché en lançant des cicuits organisés autour du cannabis. ........................................................................................... (Cliquez sur le titre pour lire la suite).
|
La croissance en Turquie s'est contractée entre le deuxième et troisième trimestre 2018. Certains craignent une récession. Le secteur de la construction pâtit de ce ralentissement. Des centaines de villas en rangées impeccables, d'un style évoquant tant les châteaux français que ceux de Disney, se dressent dans une province du nord-ouest de la Turquie, comme le montre cette impressionnante vidéo. Mais ces bâtisses destinées à de riches acheteurs étrangers sont vides et n'ont plus rien du conte de fées pour les investisseurs. L'ambitieux projet fait les frais du marasme de la construction en Turquie, un secteur-clé pour l'économie du pays, ainsi que de troubles régionaux, au moment où l'économie turque ralentit. Après une longue période de croissance, celle-ci s'est contractée de 1,1% entre le 2e et le 3e trimestre 2018 et de nombreux économistes craignent désormais une récession. La livre turque s'est effondrée en août, sur fond de tensions diplomatiques avec les États-Unis, et l'inflation a atteint de nouveaux sommets. La devise turque a perdu 28% de sa valeur face au dollar en 2018 et les marchés restent sceptiques devant la stratégie mise en place par Ankara pour gérer les problèmes sous-jacents de l'économie (hausse de la dépense publique, baisse de la TVA...). Des revers financiers Aux abords de Mudurnu, dans la province montagneuse de Bolu, s'alignent des centaines de villas mitoyennes blanches aux toits pointus, censées évoquer l'architecture européenne. Elles font partie d'un ambitieux projet lancé en 2014 par Sarot, un groupe de construction turc engagé dans plusieurs programmes immobiliers importants dans la région. À terme, le chantier "Burj al-Babas" est censé compter jusqu'à 732 villas et un centre commercial. Mais il a essuyé des revers financiers au point que Sarot a, comme des centaines d'autres entreprises turques, demandé à être placé sous le régime des faillites: la justice l'a autorisé en novembre à suspendre les paiements à ses créanciers pour restructurer sa dette, tout en continuant à fonctionner sous la protection de l'État. Le groupe Sarot a été acculé après que des clients se sont retrouvés incapables de payer pour les villas qu'ils avaient achetées, a déclaré à l'AFP le vice-président du groupe, Mezher Yerdelen. Sarot avait déjà vendu 351 villas, d'une valeur variant entre 400.000 et 500.000 dollars chacune, principalement à des investisseurs des pays du Golfe - ce qui laissait espérer des recettes d'au moins 140 millions de dollars. Mais certaines ventes ont été annulées, alors que 100 millions de dollars avaient déjà été engagés dans ce projet évalué à 200 millions au total, et que 80% des 351 villas vendues étaient déjà sorties de terre. Le secteur s'est replié de 5,3% À l'origine du problème, selon Mezher Yerdelen: les difficultés rencontrées par les investisseurs du Golfe, liées notamment à la chute du prix du pétrole, ainsi que "l'impact négatif des fluctuations économiques sur les prix" du BTP en Turquie. Alors que la bataille pour l'avenir de Sarot est en cours devant les tribunaux turcs, Mezher Yerdelen reste optimiste et veut croire que le projet sera achevé en octobre. Sarot est loin d'être un cas isolé en Turquie. La construction a été l'un des moteurs assurant à l'économie une solide croissance depuis l'arrivée au pouvoir de Recep Tayyip Erdogan en 2003, mais le secteur s'est replié de 5,3% sur un an au troisième trimestre 2018, et les difficultés s'accumulent. "Sur quatre entreprises demandant à être placées sous le régime des faillites ou se déclarant en faillite, trois relèvent du secteur de la construction", explique Alper Duman, professeur associé à l'Université d'économie d'Izmir. "Qu'on l'appelle une bulle de la construction ou une bulle immobilière, il y a une bulle en Turquie", ajoute-t-il. La preuve en est selon lui la quantité de logements invendus: en 16 ans, 10,5 millions d'appartements ont été construits mais seulement 8 millions sont utilisés. "Il y a de grandes chances que cette bulle explose", estime-t-il. La ministre du Commerce, Ruhsar Pekcan, a déclaré mi-décembre que 846 entreprises avaient demandé à être placées sous le régime des faillites depuis mars 2018, un chiffre très en deçà de la réalité aux yeux du quotidien d'opposition Sözcü, qui évoquait en octobre celui de 3.000 entreprises concernées. "La construction est la locomotive du pays" Pour le président de la Chambre des ingénieurs civils de Turquie, Cemal Gökçe, trop de logements ont été construits dans le pays. Il prédit davantage de demandes de placement sous le régime des faillites et de faillites parmi les entreprises de construction. Mais sur le long terme, d'autres se veulent plus optimistes, comme l'ancien directeur exécutif du groupe d'études Reidin Data and Analytics, Kerim Alain Bertrand. "La construction est la locomotive du pays", soulignait-il à la fin de l'année 2018. "Même si c'est limité, nous nous attendons à une consolidation dans ce secteur", notamment parce qu'il sera "maintenu en vie" par la jeune population, dans un pays à la très forte croissance démographique, selon lui. L'âge médian en Turquie était de 31,7 ans en 2017, selon l'Office national des statistiques, contre 42,8 ans dans l'Union européenne.
En chantier depuis 30 ans, ce bâtiment qui devait faire office d’hôtel est toujours inoccupé. Régulièrement des rumeurs font état de son ouverture prochaine, on y a même vu de la lumière récemment. Et si la situation se débloquait en 2017 ? Un bâtiment immense et énigmatique dominant la capitale la plus fermée au monde, Pyongyang, alimente forcément son lot de spéculations et de rumeurs. D’autant que cette étrange tour pyramidale de Corée du Nord connue sous le nom de Ruygyong Hotel a cumulé les ennuis. Et 30 ans après le lancement du chantier, l’immeuble n’est toujours pas occupé.
Le chiffre donne le tournis ! Le fonds souverain norvégien Norges Bank Investment Management (NBIM) vient de débourser 1 milliard d'euros pour mettre la main sur un immeuble de 26.800 mètres carrés situé sur la très chic Place Vendôme à Paris. Ce bâtiment exceptionnel - composé à 80% de bureaux et 20% de commerce - a été acheté au fonds irlandais Sloane Capital Partners…. qui réalise au passage une très belle plus-value (le bâtiment avait été acquis 600 millions d’euros).
Cet ancien poste de tir a été transformé en logement par son actuel propriétaire. L'agence immobilière mandatée pour la vente a déjà reçu plusieurs marques d'intérêt. "Sans doute le seul sur le marché français" Vu de l’extérieur, cet immense "studio" en béton qui a servi de poste de tir à l'armée allemande ne paie pas de mine. Toutefois, le logement d’une surface habitable de 75 m² dispose de nombreux atouts. Bâti en 1943 sur un terrain de 450 m², il offre une vue sur la mer et le port artificiel d’Arromanches, ainsi qu’une gigantesque terrasse de plus de 100 m², accessible par des escaliers que le vendeur a fait construire.
Faut-il investir à Vatan, Poil ou La Conne? Meilleurtaux.com, courtier en crédit immobilier, a dévoilé une étude fin juillet pour décrypter ces communes françaises aux noms burlesques où il fait bon –ou pas- d’investir. Le classement est basé sur la capacité d’achat pour 1.000€ de mensualité (hors assurance) sur 20 ans.
La mode des Tiny Houses n’a pas fini de nous surprendre. Preuve en est avec cette extraordinaire maisonnette mobile, astucieuse et ultra-sécurisée vendue aux États-Unis à un prix attractif. Les Tiny Houses attisent l’imagination des designers et architectes du monde entier. Toutes plus créatives les unes que les autres, elles séduisent de plus en plus d’acheteurs. Aujourd’hui, notre rédaction vous propose de partir dans l’Ohio pour découvrir une Tiny House ingénieuse vendue au prix attractif de 48 000 $, soit 42 000 €. Cette micro-maison dispose de nombreux équipements : table, salle de bains carrelée, luminaires, etc. D’autre part, la maisonnette est dotée d’un système de sécurité performant incluant des alertes à distance.
Oui, vous avez bien lu... Ce couple a décidé de vendre leur immense propriété avec vue imprenable sur Manhattan, à New York, pour une raison surprenante : ils s'y perdent car le loft est trop grand ! Sur le marché actuel, ce bien exceptionnel est évalué à 28,6 millions d’euros, ce qui en ferait une transaction record si un acquéreur se décidait à en payer le prix. Les « problèmes » auraient commencé quand, une fois rentré à la maison, Stuart Leaf, propriétaire des lieux, appelait sa femme sans obtenir de réponse. En réalité, Claire était à l’autre bout de l’appartement et ne l’entendait même pas ! Du coup, à plusieurs reprises, les tourtereaux pensaient être seuls et ne se rendaient compte que 3 heures plus tard que leur moitié était en fait ailleurs dans l'appartement ! Alors si vous êtes prêt à souffrir à leur place et que vous avez quelques sous de côté, foncez ! Au programme : une immense salle de sport, une cave à vin, 14 pièces, 6 salles de bains... Voir les photos ici
Airbnb a créé, à sa façon, une machine à remonter dans le temps. Le site de location de logements, en partenariat avec l'Art Institute de Chicago, offre de dormir dans la chambre de Vincent Van Gogh dans la maison jaune à Arles. Le peintre a vécu dans cette demeure durant l'année 1888. De ce lieu, il ne reste plus que sa célèbre toile, sa chambre comme le reste de la maison ayant été détruits lors du bombardement du 25 juin 1944.
Mais Airbnb n'a pas reconstitué la pièce telle qu'elle existait il y 130 ans. Les hôtes sont invités à dormir dans "la chambre à coucher" tel que le peintre l'a peinte, histoire de s'immerger une nuit dans son œuvre. Tous les éléments de la toile sont présents, distorsions comprises. Il s'agit de la deuxième version du tableau, celle exposée à l'Art Institute. Cet hébergement insolite est proposé jusqu'au 10 mai à 9 euros la nuit. Il est à l'initiative du musée qui propose une exposition du 14 février au 10 mai où les trois versions de la toile seront réunies.
Un entrepreneur suédois a pour projet de construire une maisonnette sur notre plus proche satellite. Un pari fou qui ne pourra être réalisé qu'avec le coup de pouce financier de généreux donateurs. Construire un cabanon à plus de 380 000 km de la Terre. Tel est le pari fou de l’artiste et entrepreneur suédois Mikael Genberg, qui compte sur le financement participatif pour réaliser son rêve.
L’homme entend réaliser son œuvre, baptisée « Moonhouse », d’ici octobre 2015. .................................................................................. (Cliquez sur le titre pour lire la suite).
Le multimilliardaire de 29 ans aurait déboursé plus de 30 millions de dollars pour acquérir simultanément quatre maisons voisines de sa résidence à Palo Alto en Californie, selon le San Jose Mercury News. Le respect de la vie privée n'a pas de prix. Mark Zuckerberg serait mal avisé de soutenir le contraire. Le fondateur de Facebook a en effet déboursé plus de 30 millions de dollars pour acquérir simultanément quatre maisons voisines de sa résidence à Palo Alto en Californie, pour s'assurer un peu d'intimité.
|
• INSOLITE • Pour fêter les 30 ans de la série "Le Prince de Bel-Air", la maison qui a servi au tournage est disponible à la location !